Classe de collège
Un jour, pour éviter de buller avec mon père nous avons décidé de partir en vélo dans la forêt pour respirer de l’air frais. Mais avant j’ai gonflé ma chambre à air. Sur le chemin, nous nous sommes dirigés vers la montagne pour l’escalader car une série d’éoliennes a attiré notre attention. Celles-ci produisent de l’énergie électrique.
Un Foehn chaud souffle de l’Est et insuffle à la forêt une douce ambiance, je suis comme transporté sur un épais nuage vaporeux.
Nous roulons à vives allure, nous n’arrivons pas à décoller nos bras de nos corps en sueur.
Mon père est fatigué et nous décidons de nous reposer sous un arbre. Dérangés par notre présence de beaux oiseaux perchés sur une branche s’envolèrent à tire d’ailes.
Assis sous l’arbre, je me souviens que c’est le jour de l’anniversaire de ma sœur et j’en parle à mon père, nous envisageons d’acheter une belle fragrance.
Ahmed Mansouri
Lundi soir, mon ami et moi, sommes allés à la ferme de mon grand-père.
Nous avons enfourché nos vélos pour décoller sur les chemins de la campagne, changer d’air, cueillir des fleurs et respirer leur agréable fragrance.
Soudain, nous avons entendu un bruit, c’était la chambre à air qui avait crevé. Elle avait triste allure et ressemblait à un oiseau aux ailes blessées.
Par chance, nous avions apporté des outils pour réparer le vélo : du papier de verre, de la colle, des rustines et une pompe pour lui insuffler de l’air. Cette petite panne nous a empêchés de buller.
Nous étions à côté d’une grande éolienne qui tournait grâce à un Foehn vaporeux. La réparation terminée, nous avons pris le chemin du retour, fatigués mais contents d’avoir pu surmonter cette épreuve.
Malak Amhine
Les vacances passées, nous sommes allés à la campagne chez ma grand-mère.
Un matin comme il n’y avait personne avec qui je pouvais jouer, je bullais dans la grande cour. Soudain, j’ai aperçu une vieille bicyclette près de l’écurie, je l’ai prise et je suis partie faire une promenade dans les champs. Le terrain était plat, je pédalais à vive allure, je me sentais libre. Une fragrance aux senteurs de rose se dégageait des champs.
Soudain, j’ai senti que le pneu de la roue arrière était à plat. J’étais près d’un vieux puits surmonté d’une ancienne éolienne aux ailes cassées. Je n’avais ni pompe, ni matériel pour réparer la chambre à air. Je m’interrogeais sur comment je pouvais insuffler la vie dans cette chambre à air.
Un vent chaud et vaporeux s’élevait tel un foehn, j’entendais le bruit d’une moto, c’était un homme qui se dirigeait vers moi, il s’est arrêté et il a proposé de m’aider, puis il a sorti la chambre à air et a commencé à l’examiner. Il a découvert une ancienne rustine décollée de sa place. Il a gratté l’endroit avec du papier de verre et il en a collé une nouvelle.
Je l’ai remercié, et j’ai repris ma promenade.
Mohammed Riyad Azam : Sur mon vélo
Je décolle sur mon vélo à toute allure,
Emporté par le souffle du foehn.
Je me sens pousser des ailes comme une éolienne,
Je traverse des brouillards vaporeux
Une fragrance hivernale insuffle ses odeurs subtiles
Mes poumons se remplissent telle une chambre à air
Je suis là, bien heureux !
Je n’ai qu’une seule aspiration « Buller »
Mohamed Bardou
Les vacances dernières, ma famille et moi sommes allés chez ma tante à la campagne, en route j’ai aperçu de grandes éoliennes qui tournaient lentement grâce à un foehn. En quelques instants nous étions à destination, j’étais très impressionné par ce lieu extraordinaire :
Il y avait des oiseaux qui volaient avec leurs magnifiques ailes et beaucoup de fleurs aux agréables fragrances, puis j’ai couru à vive allure comme pour décoller avec ma bicyclette. Malheureusement la chambre à air était presque à plat et mon père a pris la pompe pour me permettre d’y insuffler de l’air.
Je me suis très bien amusé, car c’était une très belle journée.
Mostafa Lemsalek & Imane Triqui
L’éolienne, la machine qui transforme l’énergie cinétique du foehn en énergie mécanique. Elle rend de précieux services, elle contribue également à la limitation de la pollution de l’air.
Beaucoup de gens disent que cette dernière bulle et qu’elle est comme une décoration qui ne sert à rien, malheureusement ils ne connaissent pas la valeur de cette magnifique invention. Cette machine se trouve à la campagne au milieu des fragrances produites par les fleurs. Elle est connue par ses trois ailes qui tournent à grande allure.
Généralement les avions et les oiseaux ont des ailes pour décoller et voler dans les airs. Nous avons aussi besoin de l’air pour respirer et vivre, pour gonfler les chambres à air et pour faire tourner les éoliennes.
Mostafa Lemsalek & Imane Triqui
Je me lève le matin,
Je mange mon pain.
Je prends le chemin
De chez ma grand-mère
Je vais et je reviens.
Je vais me promener à la campagne,
Je pédale à vive allure
Avec l’impression de décoller.
Sans buller sous la chaleur du foehn
Je cueille de petites fleurettes
Respirant une agréable fragrance
Imaginant que j’ai des ailes
Comme celle d’une éolienne.
Haydi Boulanouar
Le Weekend dernier, je suis allée à la campagne, j’ai décidé d’aller faire un tour en vélo à travers les fermes. Soudain ma chambre à air a crevé. J’étais près d’une éolienne élancée, avec de grandes ailes. J’avais bonne allure car je sentais une fragrance qui m’insufflait la vie. Un homme sortait d’un foehn vaporeux, j’étais perdu, je lui ai demandé de m’aider, il m’a conduit chez ma mère et je l’ai remercié. J’avais abandonné ma bicyclette dans le fossé.
Amine Dnidne : Si j’avais
Si j’avais un vélo,
Je le dessinerai avec un stylo
Si j’avais une voiture,
J’aurais une bonne allure.
Si j’avais un avion
De couleur marron
Je décollerai simplement
Pour voler rapidement
Le parfum a de belles fragrances
Il vient de France
Je vois l’éolienne très loin
Je la vois avec des yeux témoins
L’éolienne a des ailes
Et je reçois des emails
Zaki Kheir
Samedi matin, mon ami et moi sommes allés en vélo à la ferme pour changer d’air. Quelques minutes plus tard, nous avons entendu un appel : c’était un enfant de la ferme qui avait une chambre à air crevée. Par chance nous avions avec nous des pièces de rechanges. Nous avons décollé la rustine et nous en avons réinstallé une nouvelle. Une demi-heure après, nous sommes allés à travers la campagne. Sur notre chemin il y’avait un oiseau blessé à l’aile et qui ne pouvait pas voler.
Alors nous l’avons emmené chez nous. Nous lui avons donné de la nourriture et de l’eau. Après l’avoir laissé à la maison, nous sommes rendus à la plage. Pour ne pas buller, on s’est mis à jouer. Sur le chemin du retour, il y avait un rassemblement autour d’un homme qui s’était noyé. Rapidement, nous avons procédé aux gestes de premiers secours, en lui insufflant notamment de l’air dans la bouche. Enfin, l’homme s’est levé et il est rentré chez lui.
Younes Benrabah
Un matin, je prends mon vélo et je décide de faire un tour à la campagne, car je ne faisais que buller à la maison. Je voulais respirer l’air, les fragrances des fleurs et faire du sport. Quelques minutes plus tard j’ai remarqué un garçon qui avait la chambre à air de son vélo crevée. Je suis revenu à vive allure chez moi et je lui ai apporté des pièces de rechanges.
Nous avons installé la nouvelle chambre à air, et j’ai continué ma promenade à la campagne.